Dans mon petit mot hier je vous disais, MONIN le menteur, en effet en refusant d'admettre que la commune avait contacté un emprunt toxique en 2006 et terminant en 2016, celui-ci a assuré devant le conseil municipal de vendredi soir que c'était faux.

Je m'empresse de le contredire pour la raison suivante : DEXIA, LA BANQUE TOXIQUE, c'est le titre d'un article de presse signé (Emmanuel LEVY) MARIANNE 1 au 7 octobre 2011. Je cite : DEXIA, l'établissement qui avait refilé des milliers de prêts frelatés aux collectivités locales -et qui fait l'objet d'une poursuite pour escroquerie en bande organisée)- vient de devenir lui-même un produit toxique, depuis que l'agence de notation FITCH a dégradé sa signature, le 27 septembre. Sauvée de la faillite par une perfusion de deniers publics en 2008, la banque franco belge se révèle être le vrai maillon faible du système. En plus des 3 milliards de récapitulation , la France avait consenti une garantie (toujours en cours) de 5 milliards aux créanciers de DEXIA. Selon le quotidien belge l'Echo, plusieurs scénarios seraient à l'étude pour sortir du nouveau bourbier, dont la vente de 20 milliards d'actifs, l'adossement à la Caisse des dépôts, ou encore un mélange des différentes solutions. Selon un député proche du dossier, " la situation est critique. Je le crois d'autant plus que MONIN dit le Contraire.