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défense de l'utilisateur et du consommateur
26 mai 2014

Communauté de Communes Coeur de Chartreuse

Bonjour, si j'ai bien compris, une partie de la 4C va demander un PLUI en invoquant l'Amendement 406 appelé l'amendement PIRON.

A peine mariée la 4 C va déjà parler de divorce, çà annonce de belles joutes dans les mois à venir. Invoquer cet amendement pour éviter de faire partie du SCOT de l'Avant Pays Savoyard. Encore faudra t'il rassembler au moins Miribel les Echelles, St Joseph de Rivière et St Laurent et je ne vois pas l'adjoint aux finances dénoncer le SCOT, ni même C Allegret, enfin j'en doute !!!!!

Passons à autre chose, les rapports sur le prix et la qualité du service qui doivent ètre présentés avant le 30 juin et des délégations ou régies il y en a pas mal surtout pour la première année d'existance de la 4 C.

Article: L.2224-5 et il n'y a pas que les déchets concernés.

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Commentaires
L
Merci pour le service.
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I
demander un PLUI en invoquant l'Amendement 406 appelé l'amendement PIRON. ??????????????????????????????????????<br /> <br /> Amendement N° 406 rectifié (Adopté)<br /> <br /> Engagement national pour l'environnement<br /> <br /> Discuté en<br /> <br /> séance le 6 mai 2010<br /> <br /> Déposé le 30 avril 2010 par :<br /> <br /> M. Piron<br /> <br /> .<br /> <br /> Article 10<br /> <br /> —<br /> <br /> Grenelle II<br /> <br /> Après l'alinéa 51<br /> <br /> , insérer l'alinéa suivant<br /> <br /> :<br /> <br /> «<br /> <br /> Dans les zones naturelles, agricoles ou forestières, le règlement peut délimiter des<br /> <br /> secteurs de taille et de capacité d'accueil limitées, dans lesquels des constructions<br /> <br /> peuvent être autorisées à la condition qu'elles ne portent atteinte ni à la préservation des<br /> <br /> sols agricoles et forestiers ni à la sauvegarde des sites, milieux naturels et paysages. Le<br /> <br /> règlement précise les conditions de hauteur, d'implantation et de densité des<br /> <br /> constructions permettant d'assurer leur insertion dans l'environnement et leur<br /> <br /> compatibilité avec le maintien du caractère naturel, agricole ou forestier de la zone.<br /> <br /> ».<br /> <br /> Exposé Sommaire :<br /> <br /> Les PLU protègent, de façon beaucoup plus stricte que ne le faisaient les POS, les zones naturelles,<br /> <br /> agricoles et forestières contre les constructions et le mitage. Dans ces zones, ils interdisent par<br /> <br /> principe toute construction qui n'est pas strictement nécessaire à la production agricole ou à<br /> <br /> l'exploitation forestière. Sont notamment prohibées, dans les zones agricoles, les constructions<br /> <br /> nécessaires à des activités annexes de l'agriculture, telles que les gîtes ruraux, la restauration à la<br /> <br /> ferme... (CE 14 février 2007, Ministre des transports, de l'équipement et de la mer, req. 282 398).<br /> <br /> Ces limitations à la constructibilité des zones protégées sont indispensables pour éviter que des<br /> <br /> secteurs qui subissent une forte pression foncière, voient se multiplier les constructions au départ<br /> <br /> annexes à une exploitation agricole, mais qui deviennent rapidement des activités indépendantes, ne<br /> <br /> serait-ce qu'en cas de cession de ces bâtiments.<br /> <br /> Pour autant, la loi n'a pas entendu interdire aux agriculteurs toute activité annexe, comme les gîtes<br /> <br /> ruraux. Mais il a paru indispensable que les secteurs dans lesquels ce type de constructions peut être<br /> <br /> implanté soient délimités préalablement dans le PLU, conservent un caractère limité et ne portent<br /> <br /> pas atteinte aux sols agricoles et forestiers ou aux sites et paysages protégés. Les PLU doivent donc<br /> <br /> les délimiter dans les secteurs naturels qu'il est convenu d'appeler espaces naturels banals. Ces<br /> <br /> secteurs ne relèvent d'aucune des protections précédentes et ne sont classées en secteur naturel que<br /> <br /> pour éviter le mitage, l'étalement urbain et les coûts d'une urbanisation diffuse. C'est ce que prévoit<br /> <br /> l'article R. 123-8 du code de l'urbanisme. Le Gouvernement a constamment incité les communes à<br /> <br /> mettre en place de telles «<br /> <br /> micro-zones<br /> <br /> », qui assurent la protection contre les constructions des<br /> <br /> zones naturelles et agricoles sans pour autant interdire aux agriculteurs de réaliser, dans des<br /> <br /> emplacements choisis avec eux et délimités par le PLU, des constructions nécessaires aux activités<br /> <br /> annexes, comme les gîtes ruraux, la vente des produits de la ferme ou la restauration (questions<br /> <br /> écrites n° 1485, JO du 11/11/2002, n° 17236, JO du 04/05/2006, n° 40223 et n° 37498, toutes deux<br /> <br /> au JO du 21 avril 2009).<br /> <br /> Cette méthode avait été, dans un premier temps, validée par le Conseil d'Etat (CE 15 juin 2007, M.<br /> <br /> Arnaud, req. 300208). Mais la Haute Assemblée vient de modifier sa jurisprudence. Elle considère<br /> <br /> maintenant que la rédaction du code de l'urbanisme autorise clairement la délimitation de telles<br /> <br /> micro-zones dans les zones naturelles et forestières, mais non dans les zones agricoles, où elles sont<br /> <br /> pourtant les plus nécessaires (CE, 31 mars 2010, Commune de Chateauneuf-du-Rhône, n° 313762).<br /> <br /> Cette jurisprudence compromet plusieurs milliers de PLU de communes qui avaient appliqué les<br /> <br /> consignes du Gouvernement et la jurisprudence antérieure du Conseil d'Etat.<br /> <br /> Le présent amendement a pour objet de préciser la rédaction du code de l'urbanisme pour lever ces<br /> <br /> difficultés et confirmer le droit, tel qu'il s'applique depuis la création des PLU.<br /> <br /> Aucun commentaire n'a encore été formulé sur cet amendement.
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